Malgré des questions tordues, les organisateurs du cru 2016 ne se laissent pas piéger… Rien ne filtrera excepté la date du départ : le jeudi 15 septembre 2016. Bon courage aux six nouveaux qui n’ont jamais fait de Mystery Tour !
On est bientôt arrivés JF, encore un petit effort

Hello I’m Local
Accueillis à 10h au bureau par un petit déjeuner copieux, nous attendons Sébastien bloqué dans le RER. Mais pas de stress, il paraît qu’on est large !
Finalement le départ est donné, et la traditionnelle photo de groupe au départ du Mystery Tour est reportée à plus tard : Sébastien nous rejoindra plus tard, et la pluie complique les choses.

Arrivés à Gare du Nord, nous ne savons toujours rien. Ce n’est que 20 minutes avant le départ que les billets sont distribués : direction Amsterdam ! Jorrit pourra faire la traduction en cas de besoin…

Dans le train, Camelot, souvenir du MT 2k15, remplace pour certains le traditionnel tarot, le tout sous des effluves de poulet grillé…

Mais Amsterdam n’est finalement pas la destination finale : c’est à Haarlem, plus paisible et située à environ 20 km de la capitale, que nous posons nos valises rapidement (Franck, les toilettes s’ouvrent certes de l’extérieur, mais Gautier est quand même dedans !).

Le temps de s’installer dans nos chambres et nous nous retrouvons pour une visite guidée de la ville, protégés cette fois-ci par une météo bien plus clémente qu’à Paris.

On fonce, on ne sait pas où, mais on y va

Il est dans quelle direction l'hôtel ?
Mais attention aux vélos… ici le cycliste est roi, et tout ou presque est piste cyclable : « Véloooooooooooooo ! » devient rapidement le cri de guerre (et de protection) du groupe. De retour à l’hôtel, une dégustation de bières nous est proposée : quelle bonne idée ! C’est dans le patio que nous découvrirons les fameuses croquettes locales et profiterons d’un dîner fort convivial. Mais les repas étant servis tôt aux Pays-Bas, nous décidons de ressortir à l’assaut de Haarlem, direction la maison de la bière pour un dernier verre… que certains prolongent…
La croquette hollandaise en sandwich, on aura tout vu !
Elle est bonne la bière... j'espère que les saucisses vont arriver Ah ben non, c'est du poulet !
Attention Matthieu, garde tes mains sur le guidon

Y a plus de vent mais Gautier se dévoue

Le lendemain matin, il est 8h30 quand le petit déjeuner est servi. Encore une fois « on est large », et c’est vers 11h que nous découvrons le char à voile !

Après une prise en main un peu délicate pour certains, voire même quelques accrochages ou autres pertes de roue, le coup est vite pris. Les positions sont parfois étranges, comme Vincent qui semble se repérer grâce à des étoiles invisibles, mais l’enthousiasme est général.

Après un déjeuner bien mérité, c’est quartier libre dans Amsterdam. Le groupe se sépare tranquillement, ici pour le donjon et une étrange « omelette du fromage » ou le musée de la torture, là pour Rembrandt ou autre promenade tranquille dans la ville.

C'est pas le moment de la sieste !
Je crois que tu as perdu un truc Leng !?
Vous reprendrez bien un verre ?
C’est vers 19h30 que nous nous retrouvons devant la gare pour un dîner mystère : apéritif sur une péniche privatisée pour Osaxis à la découverte des fameux canaux, au milieu desquels des pizzas nous sont livrées à bord une fois la nuit tombée. Vraiment sympa !

De retour sur la terre ferme, nous regagnons Haarlem, où certains préfèrent aller se coucher tandis que les plus vaillants repartent à la recherche d’un bar spécialisé dans le Mojito.

Vous êtes sûr et certain que ça tient ce truc qu'on appelle zaza ?

Cours Gautier !

La chaise humaine

Opération des casques bleus en direct d'Amsterdam

Samedi matin, c’est de nouveau à 8h30 que nous prenons notre petit déjeuner. Comme ça, « on est large ! »…

Arrivés à destination après un train, un tram, et une bonne marche à pied, deux groupes se forment pour les activités de la journée : accrobranche et jeux de construction !

Certains sont nettement plus téméraires que d’autres, mais malgré quelques désaccords techniques et tactiques bruyantes, ainsi que quelques vertiges faisant suer à grosses gouttes, la bonne humeur est générale et les fous rires nombreux !

Et il va falloir avancer en tirant notre construction ? Ok, Tom, tu montes dessus...

Matthieu : Aidez-moi, je suis bloqué ! Jean-Seb : ça bouge là, non ?

Il rigolait moins après ;-)

Course de brancard

On ne double pas par la gauche droite Gilles !

ouh, la belle tablée !

La fin de journée arrive, et on a beau être toujours large (ou presque…), il faut quand même rentrer vite si l’on veut avoir le temps de repasser prendre une douche avant de repartir sur les chapeaux de roue récupérer 21 vélos abandonnés qui eux non plus ne savent pas où nous emmener.

Jean-François, monté sur orbite, est à la fois en tête et en queue de peloton et encadre à merveille les sprinteurs autant que les moins sportifs d’entre nous.

Enfin sur 2 roues, nous pouvons passer partout sans manquer de se faire écraser ou renverser, un vrai bonheur !

Après une grosse demi-heure de pédalage, nous apercevons le bout de la route : la mer !

Bien que plus très larges (ça y est, vous l’avouez enfin, l’heure de la réservation est notée sur la table !), certains courageux s’accordent quand même quelques minutes dans de l’eau à 19° malgré la nuit déjà tombée, tandis que les autres s’installent pour prendre l’apéritif en attendant le barbecue.

Le dîner pantagruélique terminé, nous reprenons les vélos dans la nuit pour rentrer à l’hôtel… ou pas… Une fois de plus certains passent outre leur fatigue pour un dernier verre, étrangement plus calme que les soirs précédents !

Dimanche matin, jour du départ, nous avons l’autorisation de nous lever un peu plus tard. Une dernière promenade dans Haarlem, et direction Amsterdam (merci Matthieu pour M.Mime…. les Kabuto tu en verras d’autres !) pour quelques emplettes de dernière minute ou autre flâneries en terrasse avant le train du retour. Camelot y tient toujours la première place, suivi de près par Morphée qui emporte bon nombre d’entre nous.

Arrivés à Paris, tout le monde se sépare, pour beaucoup épuisés et courbaturés de la tête aux pieds, mais ravis et déjà dans les starting blocks pour la prochaine édition !

Y a du soleil, ils sont tous contents !
Malgré des questions tordues, les organisateurs du cru 2016 ne se laissent pas piéger… Rien ne filtrera excepté la date du départ : le jeudi 15 septembre 2016. Bon courage aux six nouveaux qui n’ont jamais fait de Mystery Tour !

Accueillis à 10h au bureau par un petit déjeuner copieux, nous attendons Sébastien bloqué dans le RER. Mais pas de stress, il paraît qu’on est large !

On est bientôt arrivés JF, encore un petit effort

Hello I’m Local
Finalement le départ est donné, et la traditionnelle photo de groupe au départ du Mystery Tour est reportée à plus tard : Sébastien nous rejoindra plus tard, et la pluie complique les choses. Arrivés à Gare du Nord, nous ne savons toujours rien. Ce n’est que 20 minutes avant le départ que les billets sont distribués : direction Amsterdam ! Jorrit pourra faire la traduction en cas de besoin…
Dans le train, Camelot, souvenir du MT 2k15, remplace pour certains le traditionnel tarot. Mais Amsterdam n’est finalement pas la destination finale : c’est à Haarlem, plus paisible et située à environ 20 km de la capitale, que nous posons nos valises rapidement (Franck, les toilettes s’ouvrent certes de l’extérieur, mais Gautier est quand même dedans !). Le temps de s’installer dans nos chambres et nous nous retrouvons pour une visite guidée de la ville, protégés cette fois-ci par une météo bien plus clémente qu’à Paris.
On fonce, on ne sait pas où, mais on y va

Il est dans quelle direction l'hôtel ?
Mais attention aux vélos… ici le cycliste est roi, et tout ou presque est piste cyclable : « Véloooooooooooooo ! » devient rapidement le cri de guerre (et de protection) du groupe. De retour à l’hôtel, une dégustation de bières nous est proposée : quelle bonne idée ! C’est dans le patio que nous découvrirons les fameuses croquettes locales et profiterons d’un dîner fort convivial. Mais les repas étant servis tôt aux Pays-Bas, nous décidons de ressortir à l’assaut de Haarlem, direction la maison de la bière pour un dernier verre… que certains prolongent…
La croquette hollandaise en sandwich, on aura tout vu !
Elle est bonne la bière... j'espère que les saucisses vont arriver
Ah ben non, c'est du poulet !
Attention Matthieu, garde tes mains sur le guidon
Je crois que tu as perdu un truc Leng !?
C'est pas le moment de la sieste !
Y a plus de vent mais Gautier se dévoue
Le lendemain matin, il est 8h30 quand le petit déjeuner est servi. Encore une fois « on est large », et c’est vers 11h que nous découvrons le char à voile !Après une prise en main un peu délicate pour certains, voire même quelques accrochages ou autres pertes de roue, le coup est vite pris. Les positions sont parfois étranges, comme Vincent qui semble se repérer grâce à des étoiles invisibles, mais l’enthousiasme est général. Après un déjeuner bien mérité, c’est quartier libre dans Amsterdam. Le groupe se sépare tranquillement, ici pour le donjon et une étrange « omelette du fromage » ou le musée de la torture, là pour Rembrandt ou autre promenade tranquille dans la ville.

C’est vers 19h30 que nous nous retrouvons devant la gare pour un dîner mystère : apéritif sur une péniche privatisée pour Osaxis à la découverte des fameux canaux, au milieu desquels des pizzas nous sont livrées à bord une fois la nuit tombée. Vraiment sympa !
Vous reprendrez bien un verre ?
De retour sur la terre ferme, nous regagnons Haarlem, où certains préfèrent aller se coucher tandis que les plus vaillants repartent à la recherche d’un bar spécialisé dans le Mojito.
Vous êtes sûr et certain que ça tient ce truc qu'on appelle zaza ?
Cours Gautier !
Il rigolait moins après ;-)

Opération des casques bleus en direct d'Amsterdam

Samedi matin, c’est de nouveau à 8h30 que nous prenons notre petit déjeuner. Comme ça, « on est large ! »… Arrivés à destination après un train, un tram, et une bonne marche à pied, deux groupes se forment pour les activités de la journée : accrobranche et jeux de construction ! Certains sont nettement plus téméraires que d’autres, mais malgré quelques désaccords techniques et tactiques bruyantes, ainsi que quelques vertiges faisant suer à grosses gouttes, la bonne humeur est générale et les fous rires nombreux !

Et il va falloir avancer en tirant notre construction ? Ok, Tom, tu montes dessus...
Matthieu : Aidez-moi, je suis bloqué ! Jean-Seb : ça bouge là, non ? La chaise humaine
La fin de journée arrive, et on a beau être toujours large (ou presque…), il faut quand même rentrer vite si l’on veut avoir le temps de repasser prendre une douche avant de repartir sur les chapeaux de roue récupérer 21 vélos abandonnés qui eux non plus ne savent pas où nous emmener.

Jean-François, monté sur orbite, est à la fois en tête et en queue de peloton et encadre à merveille les sprinteurs autant que les moins sportifs d’entre nous. Enfin sur 2 roues, nous pouvons passer partout sans manquer de se faire écraser ou renverser, un vrai bonheur !

On ne double pas par la gauche droite Gilles !

ouh, la belle tablée !

Après une grosse demi-heure de pédalage, nous apercevons le bout de la route : la mer ! Bien que plus très larges (ça y est, vous l’avouez enfin, l’heure de la réservation est notée sur la table !), certains courageux s’accordent quand même quelques minutes dans de l’eau à 19° malgré la nuit déjà tombée, tandis que les autres s’installent pour prendre l’apéritif en attendant le barbecue.

Le dîner pantagruélique terminé, nous reprenons les vélos dans la nuit pour rentrer à l’hôtel… ou pas… Une fois de plus certains passent outre leur fatigue pour un dernier verre, étrangement plus calme que les soirs précédents !

Dimanche matin, jour du départ, nous avons l’autorisation de nous lever un peu plus tard. Une dernière promenade dans Haarlem, et direction Amsterdam (merci Matthieu pour M.Mime…. les Kabuto tu en verras d’autres !) pour quelques emplettes de dernière minute ou autre flâneries en terrasse avant le train du retour. Camelot y tient toujours la première place, suivi de près par Morphée qui emporte bon nombre d’entre nous.

Arrivés à Paris, tout le monde se sépare, pour beaucoup épuisés et courbaturés de la tête aux pieds, mais ravis et déjà dans les starting blocks pour la prochaine édition !
Y a du soleil, ils sont tous contents !