Jeudi 6 Décembre 2012. Le trousseau est étrange : un maillot de bain et des pulls…
Nous n’en savons pas beaucoup plus avant notre arrivée à la gare de Lyon : Bourg Saint Maurice… La montagne d’accord, mais est-ce la destination finale ?

Après quelques parties de tarot enflammées dans le train, deux taxis nous attendent à notre arrivée à la gare. Des virages, encore des virages, et de la neige, beaucoup de neige ! C’est à Tignes le lac que les chauffeurs s’arrêtent enfin : un grand chalet rien que pour nous !
La répartition des chambres se fait à la vitesse de l’éclair, et déjà la gigantesque table de repas est transformée pour des échanges de ping pong.Mais il est tout de même difficile de résister à l’appel de la neige, et tout le monde se précipite dehors, malgré le froid et la nuit, pour une bataille de boules de neige sans pitié ! Pierre-Emmanuel y sacrifiera son épaule, et Gautier en sera quitte pour le sermon d’un automobiliste…

Finalement, si les plus courageux décident de partir à la découverte de la vie nocturne de la ville, les autres préfèrent se reposer pour la journée du lendemain qui, parait-il, s’annonce particulièrement dense.

Vendredi 7 Décembre 2012. Vers 8 heures, les premiers debout découvrent avec joie les viennoiseries toutes fraiches livrées directement au chalet. De quoi prendre des forces ! Une heure plus tard, un accompagnateur vient nous chercher par groupe pour… de la plongée sous glace !
L’enthousiasme de tous ne cache cependant pas l’inquiétude de certains, surtout par ces températures franchement négatives… Et pourtant, si beaucoup hésitent au début, même les plus réticents en ressortent finalement éblouis !
Après le déjeuner, temps libre initialement prévu. Mais le ski fait l’unanimité, malgré le mauvais temps. Cela serait dommage de ne pas en profiter !

Un groupe de courageux débutants se forme, pris en charge par Yann, le moniteur.

Les autres se précipitent déjà vers les télésièges, impatients de descendre les pistes toutes blanches et vierges.

La neige tombe encore, mais cela ne démotive personne, et à l’heure du retour, tout le monde a pu en profiter et dévaler quelques pistes.

A peine le temps de se poser qu’il est déjà l’heure de repartir : rendez-vous est donné sur la place centrale de Tignes pour une soirée mystérieuse…

Au loin nous apercevons un homme… Appelez le Marmotte !

Et c’est parti pour une montée en raquettes. Le temps est épouvantable, les dameuses montent et descendent sans arrêt, on parle de risques d’avalanches… et pourtant, Marmotte continue… Après la journée que nous venons de passer, c’est dur !

Alors que certains rêvent de se poser quelques minutes, nous apercevons… des motoneiges !!!!

Le briefing est précis et autoritaire, mais les conditions météo l’imposent… Et c’est parti ! A deux par moto, de la neige plein les yeux, les mains et le visage gelés, nous fendons le blizzard. A tel point que plusieurs « plantages » ont lieu. Mais qu’à cela ne tienne, nous repartons !

Le froid ayant tout de même raison de tous, Marmotte finit par s’arrêter devant un monticule de neige : il s’agit en réalité d’une yourte dans laquelle nous allons dîner. Servi par l’enthousiaste épouse de Marmotte, une soupe pour se réchauffer, un kir pour se mettre en appétit, l’ambiance est à la fois chaleureuse et authentique. Entre éclats de rire et fatigue, la croziflette est engloutie avec joie et resservie plusieurs fois. Toutefois, la fin du dîner approche, et nous commençons à appréhender le retour.
Le vent souffle encore et toujours… Mais avant cela nous est servie la boisson chaude locale : faites tourner, et interdit de reposer le récipient avant qu’il ne soit totalement vide ! Les uns ne pouvant s’empêcher de penser aux « bronzés », les fous rires ne parviennent pas à s’arrêter !

C’est pourtant l’heure du départ, qui, compte tenu du blizzard persistant, ne pourra pas se faire en luge comme prévu. Retour en motoneiges puis raquettes, pour une descente bien plus facile que la montée !

Une fois arrivés au chalet, épuisés, les moins fatigués (ou les plus fous) optent pour un dernier verre, tandis que la majorité se dirige vers sa chambre. Aurons-nous le courage de refaire du ski demain comme prévu ?

Samedi 8 Décembre 2012. Finalement oui ! A 9h, tout le monde sur les pistes. Beaucoup ne sont pas encore ouvertes, mais qu’à cela ne tienne, quand on veut, on trouve ! Le temps est moins hostile, ce qui est bien plus agréable.
Mais le temps passe trop vite, et une fois de retour au chalet, après une dizaine de pizzas dévorées, les taxis nous attendent déjà pour nous ramener à la gare. A 22h30 nous sommes enfin à Paris, bien fatigués, mais ravis. Les conditions météo étaient contre nous, et pourtant (ou grâce à cela aussi, qui sait), nous avons passé d’excellents moments !

Merci Osaxis ! Qu’allez-vous bien pouvoir trouver l’année prochaine ???

Jeudi 6 Décembre 2012. Le trousseau est étrange : un maillot de bain et des pulls…

Nous n’en savons pas beaucoup plus avant notre arrivée à la gare de Lyon : Bourg Saint Maurice…

La montagne d’accord, mais est-ce la destination finale ?

Après quelques parties de tarot enflammées dans le train, deux taxis nous attendent à notre arrivée à la gare. Des virages, encore des virages, et de la neige, beaucoup de neige ! C’est à Tignes le lac que les chauffeurs s’arrêtent enfin : un grand chalet rien que pour nous !
La répartition des chambres se fait à la vitesse de l’éclair, et déjà la gigantesque table de repas est transformée pour des échanges de ping pong.Mais il est tout de même difficile de résister à l’appel de la neige, et tout le monde se précipite dehors, malgré le froid et la nuit, pour une bataille de boules de neige sans pitié !

Pierre-Emmanuel y sacrifiera son épaule, et Gautier en sera quitte pour le sermon d’un automobiliste…

Finalement, si les plus courageux décident de partir à la découverte de la vie nocturne de la ville, les autres préfèrent se reposer pour la journée du lendemain qui, parait-il, s’annonce particulièrement dense.

Vendredi 7 Décembre 2012. Vers 8 heures, les premiers debout découvrent avec joie les viennoiseries toutes fraiches livrées au chalet. De quoi prendre des forces ! Une heure plus tard, un accompagnateur vient nous chercher par groupe pour… de la plongée sous glace !
L’enthousiasme de tous ne cache cependant pas l’inquiétude de certains, surtout par ces températures franchement négatives… Et pourtant, si beaucoup hésitent au début, même les plus réticents en ressortent éblouis !
Après le déjeuner, temps libre initialement prévu. Mais le ski fait l’unanimité, malgré le mauvais temps. Cela serait dommage de ne pas en profiter !

Un groupe de courageux débutants se forme, pris en charge par Yann, le moniteur.

Les autres se précipitent déjà vers les télésièges, impatients de descendre les pistes toutes blanches et vierges.

La neige tombe encore, mais cela ne démotive personne, et à l’heure du retour, tout le monde a pu en profiter et dévaler quelques pistes.

A peine le temps de se poser qu’il est déjà l’heure de repartir : rendez-vous est donné sur la place centrale de Tignes pour une soirée mystérieuse…

Au loin nous apercevons un homme… Appelez le Marmotte !

Et c’est parti pour une montée en raquettes. Le temps est épouvantable, les dameuses montent et descendent sans arrêt, on parle de risques d’avalanches… et pourtant, Marmotte continue… Après la journée que nous venons de passer, c’est dur !
Alors que certains rêvent de se poser quelques minutes, nous apercevons… des motoneiges !!!!

Le briefing est précis et autoritaire, mais les conditions météo l’imposent… Et c’est parti ! A deux par moto, de la neige plein les yeux, les mains et le visage gelés, nous fendons le blizzard. A tel point que plusieurs « plantages » ont lieu. Mais qu’à cela ne tienne, nous repartons !

Le froid ayant tout de même raison de tous, Marmotte finit par s’arrêter devant un monticule de neige : il s’agit en réalité d’une yourte dans laquelle nous allons dîner. Servi par l’enthousiaste épouse de Marmotte, une soupe pour se réchauffer, un kir pour se mettre en appétit, l’ambiance est à la fois chaleureuse et authentique.
Entre éclats de rire et fatigue, la croziflette est engloutie avec joie et resservie plusieurs fois. Toutefois, la fin du dîner approche, et nous commençons à appréhender le retour.
Le vent souffle encore et toujours… Mais avant cela nous est servie la boisson chaude locale : faites tourner, et interdit de reposer le récipient avant qu’il ne soit totalement vide ! Les uns ne pouvant s’empêcher de penser aux « bronzés », les fous rires ne parviennent pas à s’arrêter !
C’est pourtant l’heure du départ, qui, compte tenu du blizzard persistant, ne pourra pas se faire en luge comme prévu. Retour en motoneiges puis raquettes, pour une descente bien plus facile que la montée !

Une fois arrivés au chalet, épuisés, les moins fatigués (ou les plus fous) optent pour un dernier verre, tandis que la majorité se dirige vers sa chambre. Aurons-nous le courage de refaire du ski demain comme prévu ?

Une fois arrivés au chalet, épuisés, les moins fatigués (ou les plus fous) optent pour un dernier verre, tandis que la majorité se dirige vers sa chambre. Aurons-nous le courage de refaire du ski demain comme prévu ?
Samedi 8 Décembre 2012. Finalement oui ! A 9h, tout le monde sur les pistes. Beaucoup ne sont pas encore ouvertes, mais qu’à cela ne tienne, quand on veut, on trouve ! A noter que le temps est moins hostile.
Mais le temps passe trop vite, et une fois de retour au chalet, après une dizaine de pizzas dévorées, les taxis nous attendent déjà pour nous ramener à la gare. A 22h30 nous sommes enfin à Paris, bien fatigués, mais ravis. Les conditions météo étaient contre nous, et pourtant (ou grâce à cela aussi, qui sait), nous avons passé d’excellents moments !

Merci Osaxis ! Qu’allez-vous bien pouvoir trouver l’année prochaine ???